Leader 4.0 – L'intelligence managériale à l'ère du digital

Les métiers se transforment, les méthodes de travail évoluent rapidement et les problèmes sont de plus en plus complexes à résoudre. Les entreprises ont besoin de managers pouvant s’adapter aux enjeux technologiques et humains actuels.

D’après une étude menée par Les Echos Start et Monster fin 2018, environ 70% des entreprises ne disposent pas aujourd’hui d’outils leur permettant de former leur salariés aux soft skills, alors que 90% des recruteurs sont convaincus que les compétences comportementales continueront à prendre de l’importance au travail.

Face à ce besoin, Digitaly a conçu, avec un collectif d’expert.e.s, un parcours de formation innovant. Une formation agile, collaborative et impliquante, qui allie culture digitale et développement des soft skills pour maîtriser les codes du management à l’ère du digital.

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Le parcours Leader 4.0

La formation se déroule sous la forme d’un parcours de 8 modules alternant e-learning et présentiel. A cela, s’ajoutent un déjeuner “retour d’expérience avec un.e expert.e” et un travail en groupe sur un scénario, afin d’utiliser concrètement les notions abordées.

Les 8 modules abordent des thématiques variées :

M1 : Introduction et culture numérique

M2 : Rôle et mission du leader

M3 : Leadership et intelligence émotionnelle

M4 : Nouvelles techniques de management

M5 : Manager son écosystème et capitaliser sur les réseaux sociaux

M6 : Leader communicant

M7 : Manager les mixités dans une démarche de RSE

M8 : Validation du parcours Leader 4.0

Cette formation est proposée en intra-entreprise. Elle peut être financée dans le cadre du budget formation de votre entreprise, car Digitaly est un organisme de formation certifié Datadock.

 

Détails sur la formation ? le site web Leader 4.0 .

Le collectif Leader 4.0

Cette formation a été développée par Digitaly en collaboration avec un collectif d’expertes : Sophie Bellec, consultante en accompagnement RH de la transition numérique, fondatrice Sophie Bellec RH Conseil; Véronique Boudaud, experte en écosystèmes, CEO Digitize2grow, Elaine Leen, coach certifiée experte en analyse et développement des softs skills, fondatrice Impacts4 et Marlène Reux, formatrice et coach en expression orale, Resonance consulting.

2016 : prendre part au changement

 
A chaque blog son billet consacré aux vœux annuels.
J’ai choisi de dédier mon premier billet 2016 à l’ambition, au leadership féminin, à la grandeur des projets, à la volonté qui dépasse la raison, celle qui fait que les choses peuvent évoluer, à la faveur d’une audace.
La question que je me pose avec vous aujourd’hui, c’est comment en 2016, changer le monde et pour ce qui nous intéresse ici, contribuer à faire évoluer la condition des femmes dans notre société ?
Car le nouvel an ne se résume pas à tenter de s’améliorer soi-même. Il doit aussi être annonciateur d’un changement du monde dans lequel nous vivons (nous voulons vivre). Et à ce changement, qui reste à écrire, nous pouvons tous et toutes y prendre part (rappelez vous, le colibris et son incroyable pouvoir !).

Le Davos des femmes 2014 se tient à Paris

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Mesdames qui êtes engagées dans la promotion du leadership dans l’économie et dans la vie politique, voici une bonne nouvelle. Cette année, pas besoin d’aller à Kuala Lumpur, Beijing ou Istanbul, le Davos des femmes, le plus grand événement de networking international au féminin, se tient à Paris !

#Amis journalistes, je compte sur votre implication pour donner une visibilité à ce forum, même si l’actualité est riche d’événement sur la période ! La parité et le traitement équitable de l’information doit ici encore, être assuré et respecté !

2014 est une année d’exception pour la promotion de la condition féminine : nous avons la chance d’accueillir en ce mois de juin ce grand congrès des femmes de pouvoir à Paris, ville désormais gérée par une maire, et ce pour la première fois depuis la révolution française. Deux faits notables pour la promotion de la condition féminine en France !
La France accueillera donc à Paris du 5 au 7 juin prochains le « Global Summit of Women » ou encore connu comme le « Davos des femmes », qui réunit annuellement depuis 23 ans plus de 1000 femmes du monde entier, dirigeantes d’entreprises de toute taille, femmes d’affaires, ou encore responsables d’organisations non gouvernementales tournées vers le développement économique, dans le but de promouvoir la participation des femmes à la vie et l’activité économique et le leadership au féminin.
Côté français, on attend notamment Patricia Barbizet (Artemis), Clara Gaymard (GE France), Alain Crozier (Microsoft France), Michel Landel (Sodexo) et Nicolas Dufourcq (bpiFrance).

La voix du leadership au féminin

Pretty, young business woman giving a presentationA l’occasion de la première édition du Printemps des Fameuses, auquel j’ai assisté avec grand plaisir très récemment, j’ai pu participer à un atelier sur le thème du leadership par la voix, animé par le « Monsieur Voix » de France et de Navarre, j’ai nommé : Hervé Pata, du cabinet de conseil Musique et Voix.
Maître de conférences à Sciences Po Paris, Hervé Pata intervient depuis 20 ans notamment auprès de dirigeants, cadres supérieurs et personnalités politiques pour les aider à travailler leur signature vocale et par ce biais, à renforcer leur force de conviction et de leadership.
La voix et l’expression orale sont la signature de la personnalité et du leadership. En travaillant sur ses particularités, elle permet de renforcer sensiblement le sentiment de confiance en soi et d’imprimer son propre style.
Hervé Pata nous livre ici un éclairage sur les techniques vocales et les bases d’une meilleure utilisation de sa voix pour convaincre et s’affirmer, ainsi que ses éclairages sur l’expression vocale spécifique aux femmes.

« Women on boards » : le défi de Viviane Reding

73267c7477576bdb3de76a2c5f41240eSous l’impulsion de Viviane Reding, Vice présidente de la Commission européenne en charge de la justice, des droits fondamentaux et de la citoyenneté, des écoles de  commerce européennes ont lancé le 12 décembre 2012 une base de données intitulée « Global Board  Ready Women » (Femmes du monde entier prêtes à  entrer dans des conseils d’administration).
Cette liste de 8000 membres montre qu’il existe de nombreuses femmes qualifiées pour contribuer à diriger de grandes entreprises au XXIe siècle et qu’il est temps  de leur permettre d’accéder à  des postes de direction.

Le réseau LES ESSENTI’ELLES publie le 1er baromètre des femmes managers

Visuel-Essentielles_format_mediumLe réseau des femmes de BPCE S.A., les Essenti’Elles, vient de publier son premier baromètre des femmes managers, visant à cerner le profil des femmes managers françaises, à analyser leur perception en tant que manager et d’engager une réflexion sur les actions permettant l’accompagnement des femmes. 
La population interrogée dans le cadre de ce baromètre est représentative des « actifs » en situation de management (donc hors indépendants, CDD, secteurs spécifiques comme l’enseignement, ou encore les entreprises de moins de 20 salariés* …). Les managers –définis comme exerçant une fonction hiérarchique sur, au moins, un collaborateur – représentent 45 % de cette population.
 

Enfin oser l’ambition au féminin !

leadership femininUne bonne nouvelle pour le leadership au féminin !
Les femmes osent enfin avouer leur ambition ! Pour près de la moitié d’entre elles en effet (48%), et pour une large majorité des plus jeunes, les femmes s’avouent ambitieuses.
C’est ce que révèle l’observatoire Terrafemina /CSA/20 Minutes « Dans le miroir des femmes » publié le 24 juin 2013.
 
Ce tabou de l’ambition, qui fait écho à une connotation négative quand il s’agit de la femme, serait-il en passe d’être levé ? Ce n’est pas si simple.
Comment les femmes se sont approprié ce trait de caractère si longtemps réservé aux hommes ? Il est nécessaire en effet de s’interroger la connotation de ce mot-clef car si, pour les sondées, l’ambitieuse est avant tout « dynamique » (29%), l’impact positif ne semble pas si automatique.
Car l’ambition professionnelle décomplexée demeure encore une notion très négative en France. Et nous avons encore bien souvent tendance à associer à l’ambition, l’arrivisme égoïste et totalement intéressé, comme le définit l’expression bien commune “avoir les dents qui rayent le plancher”. L’ambition est bien moins associée à l’idée de vouloir changer les choses, faire évoluer le monde, son entreprise, son environnement… Et pourtant, c’est aussi cela l’ambition.

Existe-t-il un impact du genre managérial dans les performances de l’entreprise ?

mixitéLes femmes seraient-elles de meilleurs dirigeants que les hommes ? Là n’est pas vraiment la question. Les femmes, sont des leaders comme les autres !
Si Lehman Brothers s’était appelé Lehmans Sisters, la banque n’aurait pas fait faillite” ! Une plaisanterie bien connue des milieux financiers au moment de la crise !
Alors, les femmes, sont-elles des leaders plus perfomantes que les  hommes ? Dans un rapport de 2012, intitulé « Les femmes dans les instances de décision économique au sein de l’UE : rapport de suivi », la Commission Européenne a listé plusieurs études allant dans ce sens. Catalyst, un cabinet de conseil américain, conclue son analyse en soulignant le fait que les entreprises comptant une forte proportion de femmes au sein de leurs organimses décisionnels réaliseraient 42% des bénéfices en plus et leurs capitaux investis afficheraient un rendement supérieur de 66% (« the Bottom Line : Corporate Performance and Women’s representation on Boards » 2007).
“Femmes à la barre, entreprises à flot !”, conclut également une étude du cabinet de conseil américain Zenger Folkman: les cadres féminines seraient considérées par leurs collègues, subordonnés directs ou supérieurs, hommes et femmes, comme de meilleures dirigeantes que leurs homologues masculins. Cette aptitude au leadership des femmes serait lié à un style de management différent de celui des hommes. Comme l’indique une autre étude de Catalyst : « Les femmes font attention et les hommes tranchent » (2005).
Certes, les recherches sur les atouts des femmes managers ne cessent de fleurir. Comme dans cette étude américaine, qui voit dans les dirigeantes un rempart anticrise, grâce à leur prudence et altruisme face aux risques financiers. Ou dans une enquête du cabinet McKinsey, pour qui la présence des femmes au sommet est un gage de bénéfices: un management composé de plus de trois femmes augmenterait la rentabilité de l’entreprise.
Mais faut-il vraiment s’y fier ?